Des débuts modestes
Layth Taylor a deux passions : la photographie et la chasse. À 24 ans, il a déjà beaucoup d’expérience à son actif, et toutes ses réalisations n’auraient pu se concrétiser sans les encouragements continus de son père aujourd'hui défunt.
C’est vers la fin de ses études secondaires que Layth a développé un intérêt pour la photographie. « Mon père nous encourageait à faire toutes sortes de choses. C’est lui qui m’a incité à me procurer un appareil photo », se rappelle-t-il. Autodidacte, Layth a appris les fonctions de base de son appareil en regardant des vidéos sur YouTube, puis il s’est inscrit en photojournalisme à l’école. Son enseignante a vite remarqué son réel talent. « Plusieurs de mes photos ont été publiées dans le journal scolaire. Mon enseignante a tout de suite vu mon potentiel. Elle m’envoyait en mission en me disant ‘‘je sais que tu pourras saisir l’image, alors vas-y, va la chercher!’’ », explique-t-il. C’est ainsi que Layth s’est familiarisé avec la photographie, en prenant surtout des photos lors des cérémonies de remise des diplômes et des matchs des équipes sportives de l’école. Puis, il a pu entretenir sa passion à l’université, où il a continué de prendre des clichés sportifs sur le campus et s’est joint au club responsable de l’annuaire.
À l’automne 2015, le père de Layth est décédé, mais sa présence est demeurée plus forte que jamais. Le jeune homme a continué de se livrer à son passe-temps préféré et à Noël, cette année-là, il a reçu son premier appareil photo professionnel. « Ce Noël-là, dit-il, ma mère voulait me donner quelque chose de spécial parce que mon père adorait faire de gros cadeaux. Il nous surprenait toujours avec un gros cadeau de Noël, alors ma mère a mis de l’argent de côté pour m’offrir mon premier appareil photo plein cadre ». À compter de ce jour-là, la relation de Layth avec la photographie est devenue plus sérieuse, au point où il a décidé d’en faire son métier à temps plein. Mariages, cérémonies religieuses, magazines, articles; il n’y avait rien à son épreuve. Et le travail ne manquait jamais.
La passion de Layth s’est transformée quand il a acheté sa première arme de poing autour de novembre 2019. Amateur de plein air, il voulait essayer un nouveau loisir : la chasse. « J’ai grandi dehors. Je n’avais jamais vraiment chassé, mais j’avais passé ma jeunesse à pêcher et à faire de la randonnée, de l’escalade et de la planche à roulettes », explique-t-il. Avide d’essayer ce nouveau sport extérieur, Layth s’est empressé d’écouter des balados, comme il a toujours l’habitude de le faire quand il veut apprendre quelque chose de nouveau. Comme par hasard, dans un balado, il a entendu parler d’une équipe de chasse qui partait en expédition avec un photographe. Le déclic s’est fait en lui : il voulait faire exactement la même chose.
Une semaine plus tard, ses aventures de chasse commençaient. En plus de prendre part à des expéditions de chasse avec des amis, Layth a eu l’occasion de participer au tournage de séries télévisées sur la chasse, dont Adaptive Pursuits, une émission conçue par la North American Association of Blind Sportsmen (Association nord-américaine des sportifs aveugles) qui consiste à emmener des personnes totalement ou partiellement aveugles faire des activités hors de leur zone de confort, comme la chasse.
« Ça a été une expérience très cool », se rappelle Layth, qui, par la même occasion, a pu découvrir comment deux hommes aveugles parvenaient à chasser grâce à leurs autres sens, comme l’ouïe et le toucher, particulièrement aiguisés. Il se rappelle clairement à quel point l’un des deux chasseurs était habile, évaluant comment il allait tirer en se basant sur la nature autour de lui, comme le type de terrain où ils se trouvaient. Selon Layth, malgré le fait que ces hommes ne voyaient pas, ils ont pu apprécier la chasse à leur manière, et ce, même s’ils ont dû se contenter de participer à l’expédition sans revenir avec du gibier.
Layth n’avait pourtant jamais projeté de faire des vidéos. En fait, il avait passé une partie de sa vie à éviter d’en faire, surtout des vidéos de mariage. Mais comment refuser de tourner dans d’extraordinaires paysages de chasse, entouré de personnes extraordinaires pouvant lui faire vivre l'aventure sous un tout nouvel angle.
En un an seulement, le jeune homme a eu la chance de chasser de nombreux animaux : cerfs, grues, sarcelles, canards et coyotes. Et rien ne semble pouvoir l’arrêter! Quand on lui demande quel est le type de chasse qu’il préfère, il répond : « Ma chasse préférée entre toutes, c’est la chasse aux prédateurs. J’adore cela. » Il poursuit en précisant que la chasse au canard suit de très près. « À coup sûr, la chasse au canard multiplie les occasions de raconter des histoires », explique-t-il. Le prochain projet sur sa liste ? Aller chasser en Alaska ou au Canada. « J’ai chassé tous les animaux que je pouvais ici. À présent, j’ai envie de chasser des animaux que je veux vraiment attraper », dit-il. Nous sommes impatients de voir les photos qu’il prendra lors de ses prochaines aventures!
La chasse a permis à Layth de faire connaissance avec les véhicules Can-Am. Depuis qu’il a eu l’occasion de chasser avec le Can-Am Defender Lone Star, il ne peut plus s’en passer. « J’ai eu la chance de le conduire et de voyager à bord à de nombreuses occasions. Nous l’avons emmené partout au Texas », explique-t-il. Ayant utilisé de nombreux autres véhicules, Layth n’hésite pas à dire avec beaucoup d’enthousiasme à quel point il aime le Defender : « Je dis à tout le monde : si vous voulez économiser, c’est votre affaire, mais c’est le Can-Am le meilleur. » Layth a même participé à un concours de chasse de 24 heures avec un Defender, prouvant à quel point il peut compter sur ce véhicule pour le travail.
Plus d’équipement, meilleure chasse
Quand on chasse avec un Can-Am Defender, les accessoires sont essentiels. Dans de nombreuses photos de Layth, on peut même voir les personnalisations du véhicule utilisé par l’équipe. Parce qu’il y a tellement d’équipement à transporter lors d’une expédition de chasse, les accessoires comme les supports et les filets sont toujours pratiques. Un pare-brise et des pare-chocs sont tout aussi utiles, car ils rendent l’aventure en milieu sauvage plus sécuritaire et plus confortable. Et, il faut bien l’admettre, un véhicule bien accessoirisé dans un décor de chasse, amène l'expérience à un tout autre niveau!
Déjà un membre de la famille
Bien qu’il ne possède pas encore son propre Can-Am, Layth apprécie tout ce que ce véhicule a à offrir. Si on lui donnait le choix, il se procurerait le même six places qu’il utilise dans le cadre de son travail. « Quand nous pourrons acheter notre propre maison, dit-il, c’est LA chose que je veux. Je mettrai de l’argent de côté pour me procurer un Can-Am; c’est sûr et certain. » Sa femme et sa fille approuvent! En fait, la dernière fois que sa fille Mia, âgée de deux ans, a vu un Can-Am, elle était très excitée de monter à bord, mais elle voulait aussi le conduire! « Au début, mon ami l’a assise sur un siège, mais elle a dit ‘‘non’’ et a grimpé sur ses cuisses », se rappelle-t-il. Une future conductrice de Can-Am en perspective!
Gardez l’œil ouvert
Le talent et la passion de Layth ne passent pas inaperçus. Nous sommes convaincus qu’une multitude d’autres aventures l’attendent dans l’avenir. Pour découvrir ses magnifiques photos de chasse, abonnez-vous à son compte Instagram @capturingthehunt.
